1. |
Sul parté
03:18
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T’es encore sul parté.
Moi j’t’à maison.
Tellement gelé, j’t’ai oublié.
Mais quand reviendras-tu?
T’es encore sul parté.
Moi j’t’à maison.
T’as pas les clés.
T’as découché.
Mais quand reviendras-tu?
T’es toujours sul parté.
Moi j’t’à maison.
Chu fatigué.
M’en va m’coucher.
Mais quand reviendras-tu?
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2. |
Pow encore
02:57
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Ça d’lair qu’y’en a qui disent que j’pense encore à toi.
C’est dur de dire si c’est vrai ou non.
Mais j’aimerais que tu partes encore.
J’aimerais que tu partes encore.
Ça d’l’air que tu voudrais me voir.
Prendre des nouvelles ou juste aller boire.
J’irais bien mais au fond, j’aimerais que tu partes encore.
Oui j’aimerais que tu partes encore.
Ça d’lair qu’y’en a qui disent que j’pense encore à toi.
C’est dur de dire si c’est vrai ou non.
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3. |
Lubie
03:17
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C’était une vraie folie, un ti pain sous la pluie.
Ma petite lubie.
Quand je rêve à nous,
c’est comme rater un rendez-vous et ça me fout les blues.
Ma petite lubie.
Quand tu m’as dit oui, je savais qu’c’était déjà fini.
J’suis allé jusqu’au bout d’la nuit.
Ma petite lubie.
Un démon comestible.
Digestion difficile.
Ma petite lubie.
Plan foireux j’avoue.
Est-ce que ça valait vraiment le coup?
Un clin d’oeil aigre-doux.
Ma petite lubie.
Dans mon bain j’oublie toutes les conneries que je t’aurai dites.
L’eau déborde de mon lit.
Ma petite lubie.
Un jour faut bien en rire.
Ce n’était pas si pire.
C’était l’essai de dire.
Une phrase belle mais horrible.
Ma petite lubie.
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4. |
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Douille, douille, douille, Sourire.
Ami, cheveux longs.
Course d'escaliers, mourir.
Une chance que non.
C’est seulement pour rire.
Je ne me cherche une perche, une perche.
Je ne me cherche une.
Ce que je veux dire.
I love you.
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5. |
Lumière d'espoir
03:12
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Comme l’amour au temps de Jésus, on s’aimait dans le feu.
Comme l’amour au temps des dinosaures, on s’aimait comme même pas deux humains peuvent survivre ensemble!
C’est si subitement arrivé au lieu de naissance de nos p’tits mensonges.
Ceux qu’on donne avec notre bouche.
J’te r’garde pis tu me r’gardes ak ta face.
Ha! Me semble qu'à m’dit d’quoi...
C’pas elle qui r’semble, qui r’semble à mon ex?
Woohoooooo!
Comme l’amour au temps des autruches, on plantait nos p’tites têtes dans le sable.
Comme l’amour au temps des abeilles, on suckait toute le sucre!
Woops les amis sont à part.
On est tout seul ensemble toé pi moé, oh oui!
Qu’est cé qu’on pourrait bin faire icitte à part parler d’vie ou parler d’mort?
Whoo hoo hoo hoo!
Alalaaaa…
Zambabouaine!
Zambabouaine c’est le nom du projet maintenant... Comme une zamboni.
Fuck ta marde pis tes p’tites peanuts,
ton masque de peanuts.
Je ne peux m’arrêter.
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6. |
De le chien
02:16
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Ceci dit, tant pis.
Ceci dit, j’irais bien ailleurs pour m’éffouerrer.
Loin des démons, loin des papillons de nuits qui tentent d’aller dans nos bouches.
Je le dit, “de le sucer le soleil”.
Ceci dit, tu me souris et j’explose en mille.
Les murs repeints dans ma tête me donnent l’impression d’avoir déménagé.
Les yeux au ciel pour l’aider à voler.
De le chien, c’est le chien d’amour.
Les yeux aux ciel, c’est l’heure d’y aller.
Pour le chien, de le chien d’amour.
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7. |
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Muffins aux bananes cowboy et sa chevelure d’épée.
Ensevelie quasiment toute ma face.
Confectionner un beau tas de…
Muffins aux bananes cowboy.
Tu mérites une tappe sul front.
Mais d’amour, mais d’amour, mais d’amour, mais d’amour et de joie d’épice.
Fumer de le pot cowboy.
Tu connais la recette pour vivre éternité.
Ha non! C’est un pain aux bananes, pas un muffin maudit… :-(
Un pain aux bananes cowboy en tranches de vérité!
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8. |
Hypnotise-moi
04:30
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Hypnotise-moi.
Rends-moi fou de toi.
Je fixe tes yeux.
Tu regardes mon âme.
Et je me sens doucement catapulté.
En un élan qui saura me reposer.
Tes queneuilles avancent dans la brume rouillée.
Ça fait drôle, ça fait longtemps que personne n’y est allé.
Je suis sur qu’ils seront contents de les rencontrer.
Hypnotise-moi.
Rends-moi fou de toi.
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9. |
Faveur
02:34
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Fais-nous donc une faveur et laisse-toi respirer.
Tu sais c'que t’as dit.
Tu sais c'qu’ils ont compris.
Ils savent c'que tu vis.
C’est une rencontre au sommeil.
Ça s’chuchote à l’oreille des mots doux.
Et maintenant qu’on est là.
Nos pieds dans les plats.
Rendons-nous.
Fais-nous donc une faveur et laisse-toi délirer.
Le moment est venu de te mettre à nu et prendre c’qui t’es dû.
T’as toujours été fidèle.
À ton tour d’être quelqu’un d’autre.
Pas de stress, pas de bluff.
Le moment qui approche.
C’est ton tour.
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